L’Editorial De Amidou DJERMA correspondant au Niger
QUE LE BAOBAB permette aux Maliens, Burkinabè et Nigériens, à partir de ce 29 janvier 2025, de briser les chaînes de la CEDEAO.
QUE LE BAOBAB, l’émanation du logo de l’AES, reprenne le cordon ombilical laissé à Lagos puis après à Abuja depuis bientôt 50 ans dans les jardins de la CEDEAO. Et qu’il matérialise davantage les projets de souveraineté et les vœux de développement des trois pays partenaires.
QUE LE BAOBAB vous rende heureux, Maliens, Burkinabè et Nigériens.
QUE LE BAOBAB comme un puissant rédempteur donne le top de la souveraineté de développement. Que l’or, l’uranium, le lithium, le pétrole… à l’ombre du baobab ponctuent la marche de l’AES dès ce 29 janvier 2025.
QUE LE BAOBAB, à jamais ne se lasse de poursuivre le développement endogène.
QUE lei BAOBAB, témoin oculaire de la détresse du fait du terrorisme, console ces pays aux fondamentaux identitaires.
QUE LE BAOBAB tranquillise les martyrisés du terrorisme et qu’il soit un sûr asile pour Maliens, Burkinabè et Nigériens.
QUE LE BAOBAB fouette le patriotisme des trois peuples.
QUE LE BAOBAB qui a vu le péril des sanctions de la CEDEAO, poursuive sa splendeur pour les jours annoncés de développement.
QUE LE BAOBAB, triomphant et joyeux enregistre leurs progrès.
Ô peuples Maliens, Burkinabè, Nigériens, demeurez sous le Baobab.
Site lafriqueenmarche du 29 janvier 2025 No 821