Le patron de l’église catholique de RDC, le cardinal Fridolin Ambongo souligne une distinction importante entre les dirigeants politiques et spirituels.
En affirmant qu’un président illettré est acceptable, mais pas un cardinal, évêque ou prêtre, il défend l’importance de l’éducation et de la formation pour les leaders religieux.
Il exprime que les autorités doivent être éclairées, compétentes et conscientes des enjeux sociopolitiques.
PART DE VÉRITÉ, CEPENDANT…
Ce message critique l’incapacité de certains dirigeants à écouter et respecter la voix de l’Église, surtout dans les discussions sur des sujets sensibles comme le changement de Constitution.
La mission prophétique du cardinal Ambongo se manifeste dans son rôle de défenseur des valeurs morales et éthiques.
Son propos critique vise à rappeler aux autorités leur devoir envers le peuple.
En tant que leader spirituel, il appelle à la responsabilité, plaidant pour un gouvernement juste et transparent.
Il incarne ainsi la voix de ceux qui souffrent et dont les droits sont bafoués.
Cette déclaration du cardinal a engendré des commentaires dans plusieurs capitales africaines où certains proches des dirigeants africains n’ont pas apprécié cette déclaration du prélat congolais.
Signalons que cardinal Fridolin Ambango et le président des conférences épiscopales de l’église catholique en Afrique.
Source
Honorable Jean-Paul PALUKU NGAHANGONDI, député provincial honoraire du Nord-Kivu et coordonnateur national de l’ONGDH/CRDH depuis la RDC avec quelques ajouts de la rédaction.
Site lafriqueenmarche du 5 janvier 2025 No 801